Vous ai-je dit que je me suis rendu au Rock ô Jorat Festival ce week-end ?

À l’occasion de ses dix ans, la Brasserie du Jorat décida de marquer cette journée d’une pierre blanche (pourquoi ai-je cette impression d’avoir raté une opportunité de jeu de mots ?) par le biais d’un événement réunissant deux éléments que l’on associe trop rarement à un dixième anniversaire : la bière et le rock. Spoiler alert, c’était super.
Peut-être était-ce d’ailleurs une de ces manifestations déjà réussies avant même d’avoir commencé : un week-end complet de festivités, une quinzaine de concerts, des animations pour petits et grands, des food trucks, une visite de la brasserie et de la bonne bière, on avait toutes les raisons de vouloir y faire un crochet.
Je m’y suis rendu pour ma part samedi soir, en profitant des navettes assurant gratuitement l’aller-retour aux piétons comme moi ou aux automobilistes responsables comme vous ; une fois sur place, j’ai assisté au très bon concert d’Émilie Zoé, vu plein de sourires et de bonne humeur, découvert d’excellentes bières et ramené un chouette souvenir.
Nombre de grands artistes étaient présents, parmi lesquels Joe Brassin, Froment Pagny, The Black Eyed Pils, Jacques Dutrinque, Pint, Draft Punk, Bal-Avoine, Damien Saeigle, Soaf, Nana Mousse-Kouri, Ad’Ale, Ace of Brasse et Boire Désir.

Blagues à part, je n’ai aucune idée des chiffres ou de la fréquentation, mais entre le cadre plaisant, la bonne cuvée, la belle musique, l’organisation solide (merci pour les navettes !) et la super ambiance, ce que je retire de cette soirée m’incite à penser que la Brasserie du Jorat devrait fêter ses dix ans plus souvent.
J’ai été très très triste de rater ça, mais je tiens d’une source proche des organisateurs que la fréquentation était très moyenne par rapport à l’énergie mise en place, mais qu’ils sont très très très heureux !
Et pour ma part, je trouve que leur programmation était impressionnante, et j’espère que « Rock au Jorat » deviendra un rendez-vous récurrent !
Non seulement l’occasion d’un jeu de mot, mais également d’une contrepèterie.
Certes, non grivoise, c’est plus difficile à repérer.
Si, dans les prochaines minutes, un brasseur n’invente pas le concept de « bière-planche », je vais passer la nuit entière à chercher la contrepèterie !